Infos citoyennes

Statbel, l’office belge de statistique, organise une enquête officielle auprès d’un certain nombre de ménages dans notre ville. 

Ces ménages ont été sélectionnés au hasard dans le registre national.

L’enquête EFT est une enquête sur les forces de travail. L’enquête est organisée en Belgique, comme dans tous les Etats membres de l’Union européenne, sur base d’un règlement européen. Les résultats de cette enquête permettent d’établir des statistiques sur le marché du travail, comparables au niveau international.

La participation des ménages est très importante pour la qualité de l’enquête menée par Statbel.

Concrètement :

• Les ménages seront contactés par les enquêteurs de Statbel durant la période de janvier à décembre 2025. La participation des ménages à l’enquête EFT est obligatoire en vertu de la loi (voir l’arrêté royal du 10 janvier 1999, modifié par l’arrêté royal du 25 mars 2016).
• Les ménages sélectionnés recevront une lettre. Dans celle-ci figurera le nom de l’enquêteur et le numéro de téléphone du Contact Center de Statbel, pour toute information complémentaire (disponible de 9h à 17h via le numéro gratuit 0800 120 33).
• Des informations supplémentaires sur l’enquête, son objectif et son authenticité sont disponibles sur le site de Statbel.

Au 31 décembre 2024, la loi du 22/12/2009 instaurant une réglementation relative à l’interdiction de fumer dans certains lieux et à la protection de la population contre la fumée du tabac est également étendue aux lieux publics ouverts suivants : les plaines de jeux, les terrains de sport, les parcs d’attraction, les parcs zoologiques et les fermes pour enfants.

Il sera également interdit de fumer dans un rayon de 10 mètres autour de toutes les entrées et sorties des lieux suivants : les crèches, les accueils extra-scolaires, les écoles (primaires, secondaires et supérieures), les académies d’enseignement artistique à temps partiel, les bibliothèques publiques ainsi que les centres de soins, les centres de court séjour, les maisons de repos et de soins, les hôpitaux. 

Cette interdiction de fumer (ce compris cigarette électronique) s’applique aux visiteurs de ces lieux ainsi qu’aux membres du personnel et aux fournisseurs. Cette loi vise à réduire la visibilité du tabagisme afin d’éviter que les enfants et les jeunes ne commencent à fumer ou à vapoter. 

Qu’est-ce que BE-Alert ?

Il s’agit d’un système d’alerte lancé en 2014 qui permet aux autorités de diffuser un message à la population en situation d’urgence.

Une autorité (Bourgmestre, Gouverneur, Ministre de l’Intérieur…) peut, si elle l’estime nécessaire, alerter la population par appel vocal, SMS ou e‑mail. Une fois inscrit, le citoyen ou la citoyenne reçoit les recommandations utiles pour sa sécurité (ex. Fermez portes et fenêtres lors d’un incendie).

Les trois gros avantages du système sont :

1. BE-Alert cible de manière efficace (rue, quartier, zone déterminée).
2. Pas de canal intermédiaire (une information directe de l’autorité vers la population).
3. Le système permet de communiquer rapidement des recommandations urgentes.

Une fois enregistrées, vos données sont utilisées pour vous alerter en situation d’urgence. L’inscription ainsi que les messages reçus sont gratuits : www​.BE​-Alert​.be/​f​r​/​i​n​s​c​r​i​v​e​z​-vous

» Suivez également toutes nos informations en direct sur notre page Facebook.

👉​Le saviez-vous ?

La Zone de Police de Charleroi facilite le dépôt de plainte en permettant la prise de rendez-vous en ligne !

Pour rester accessible à tous et toutes, il est aussi toujours possible de prendre rendez-vous par téléphone, uniquement pour les situations qui ne nécessitent pas d’intervention urgente.

Certaines plaintes — notamment les violences intrafamiliales et les fraudes informatiques (hacking, phishing, retraits frauduleux…) — demandent une prise en charge immédiate. Elles ne peuvent donc pas faire l’objet d’un rendez-vous : les victimes doivent contacter au plus vite le poste de police le plus proche.

Pour un rendez-vous en ligne, choisissez votre District, le type de service souhaité, puis la date et l’heure qui vous conviennent. Après avoir indiqué vos coordonnées, votre rendez-vous est confirmé.
Si l’usage de l’outil informatique vous pose problème, le District peut enregistrer la demande pour vous par téléphone.

La Police de Charleroi continue ainsi de simplifier les démarches pour ses citoyens !

Vous êtes organisateur.trice.s d’événements dans le grand Charleroi ?

Saviez-vous que Tibi peut vous prêter des gobelets réutilisables et cela gratuitement ? 

Utiliser des gobelets réutilisables, c’est réduire de 70% la production de déchets lors d’un événement et cela garantit une meilleure propreté sur le site de la manifestation. Ils peuvent être lavés et réutilisés à souhait. Bon à savoir, les gobelets en fin de vie sont recyclés ! 

Pour demander vos gobelets réutilisables, rien de plus simple, consultez le site de Tibi et remplissez directement le formulaire de demande en ligne !

Conditions pour le prêt de gobelets réutilisables : 

• Pour toute demande de gobelets, le formulaire accessible sur le site de Tibi doit être complété. La demande doit être formulée au plus tard 20 jours ouvrables avant la date de l’événement ;
• Les gobelets seront prêtés sous réserve de l’acceptation (de la prise en charge des frais de transport, mise à disposition et lavage) dans le cadre des actions locales de prévention des déchets de la Commune ou Ville ;
• Une fois la demande validée par votre Commune, vous recevrez un devis à renvoyer signé afin que votre demande soit traitée ;
• Les gobelets manquants sont par contre à charge de l’organisateur d’événement. Le cautionnement obligatoire des gobelets (1€) durant l’événement autofinance les gobelets manquants.

L’abandon d’animaux, surtout de chats, est en constante augmentation. Pourtant, chaque propriétaire est responsable de son animal et doit prévoir une solution en cas de déménagement, de placement en maison de repos, de décès ou de toute autre situation. 

Contrairement aux idées reçues, un chat domestique ne peut pas survivre seul dehors. Habitué au confort d’un foyer, il tombe rapidement malade et risque la mort. S’il n’est pas stérilisé (obligatoire avant 6 mois), il peut aussi contribuer à la prolifération des chats errants. 

• Quelles solutions ?

Si vous ne pouvez plus garder votre animal, contactez un refuge ou une association de protection animale : ils pourront lui trouver une nouvelle famille.

Pour rappel, l’abandon d’un animal est une infraction passible d’une amende administrative allant de 100 à 1.000.000 € (Article D.7 du Code Wallon du Bien-être animal).

• Plus d’infos sur : Bien être animal

• Ou via http://bienetreanimal.wallonie…

Rappel :
Tout chien ou chat doit être identifié par puce électronique et enregistré, AVANT l’âge de 8 semaines pour les chiens et avant l’âge de 12 semaines pour les chats. 

C’est non seulement obligatoire, mais également très pratique pour retrouver votre animal en cas de perte ou de vol.

L’identification reste facultative pour les chats nés avant le 1er novembre 2017, néanmoins, elle reste vivement conseillée.

Vous avez été victime d’un accident ? Vous souhaitez continuer à vivre chez vous malgré les vicissitudes de l’âge ? Vous souffrez d’une maladie chronique et avez besoin d’une chaise roulante, d’un lit médicalisé ou d’un fauteuil releveur à commande électrique ?

La Croix-Rouge propose une large gamme de matériel paramédical disponible rapidement en location à un prix raisonnable, avec un accompagnement personnalisé et constant. Pour une meilleure optimisation de ce service, la Croix-Rouge ouvre un nouveau point central de location dans la région de Charleroi, à Marcinelle. Tout le « gros » matériel y sera centralisé pour répondre le plus rapidement possible aux demandes. Ce matériel sera livré à domicile.
Le matériel plus léger (chaises roulantes, béquilles, déambulateurs…) pourra toujours se louer directement auprès des entités locales de la Croix-Rouge du bassin de Charleroi, où nous proposons 3 points de location : 

• Croix-Rouge de Charleroi, rue du gouvernement 15, 6000 Charleroi – 071/320 950
• Croix-Rouge de Jumet, Chaussée de Gilly 18, 6040 Jumet — 071/352 339
• Croix-Rouge de Châtelet rue de Couillet 146, 6200 Châtelet — 071/38 13 33

Pour le point central à Marcinelle, la Croix-Rouge recherche des bénévoles afin de renforcer l’équipe existante : chauffeurs, livreurs, techniciens… Des personnes avec des compétences manuelles et techniques, afin de monter, démonter, réparer et livrer les lits chez les personnes qui en ont besoin. Idéalement, ces bénévoles seraient disponibles 1 à 2 jours par semaine, soit en matinée, soit l’après-midi.

Contact : Benoit Fondu, coordinateur du point central, au 0492 131699

En ville, nos appareils détectent souvent des réseaux Wifi publics gratuits. 

Or, ces connexions sont des cibles idéales pour les cybercriminels, qui exploitent les failles techniques et nos comportements en ligne. Contrairement aux réseaux privés, rien ne garantit que ces Wifi soient sécurisés. Se connecter, c’est donc exposer ses données personnelles et professionnelles.

Les risques les plus courants sont le phishing (faux messages ou sites qui volent vos informations) et l’interception des données via le snooping/​sniffing, qui permet à un pirate de voir ou de détourner votre activité en ligne.

Comment se protéger ?

• Garder ses appareils à jour et protégés (antivirus, pare-feu).

• Désactiver le partage de fichiers et les connexions automatiques.

• Vérifier que les sites sont sécurisés (https).

• Se méfier des liens inhabituels ou suspects.

• Utiliser un VPN pour chiffrer sa connexion.

• Ne jamais transmettre d’informations sensibles sur un Wifi public.

• Couper le Wifi et le Bluetooth quand ils ne sont pas nécessaires.

• Préférer la connexion mobile (3G/4G/5G) pour les actions importantes.

En résumé : surfer sur un Wifi public est pratique, mais comporte des risques. 

En appliquant quelques gestes simples, vous limitez les dangers.

Source :
Arduino ZAGO
Spécialiste en gestion des risques informationnels et systèmes d’information

© SecuNews https://​www​.secunews​.be

Appels masqués, numéros inconnus : comment réagir ?

Certains appels peuvent vite devenir un vrai casse-tête. Numéro masqué, coupure dès qu’on décroche, silence… difficile de savoir s’il s’agit d’une erreur, de prospection ou de harcèlement. 

Pour éviter le stress, voici quelques gestes simples proposés par la Direction Prévention et Sécurité.

1. Numéros masqués : stop aux appels anonymes

Un numéro caché n’est pas forcément suspect : professionnel, personne qui protège sa vie privée… tout est possible.

Mais si ces appels deviennent trop fréquents :

• Activez le refus des appels anonymes (ACR) sur votre GSM ou via votre opérateur pour votre ligne fixe.

• Évitez les appels commerciaux en inscrivant votre numéro sur la liste « ne m’appelez plus » : dncm​.be.
  Les entreprises ne pourront plus vous contacter pour du marketing direct (validité : 2 ans).

2. Numéros inconnus : comment se protéger ?

Appels coupés, bruits étranges, insultes ou numéros étrangers surtaxés… plusieurs situations peuvent se cacher derrière un numéro visible mais inconnu.

Vous pouvez :

• Bloquer le numéro directement sur votre GSM ou via votre ligne fixe.

• Interdire les appels commerciaux via la même plateforme : ​“Ne m’appelez plus”.

• Changer de numéro auprès de votre opérateur si nécessaire.

• Tenter d’identifier l’appelant via 1307 ou des applis comme WhatsApp/​Snapchat.
  En enregistrant le numéro dans vos contacts, vous verrez parfois une photo ou un nom permettant d’identifier (et bloquer) la personne.

3. En cas de menaces ou de harcèlement

Si les appels viennent d’un particulier et que la situation devient inquiétante :

• Déposez une plainte auprès du Médiateur des télécommunications.

• Prévenez également la police.

Sébastien Dormaels
Master en criminologie

© SecuNews

https://​www​.secunews​.be

Indispensable au quotidien, votre smartphone regorge de données personnelles : contacts, mails, applications bancaires… Le perdre ou se le faire voler peut vite tourner au cauchemar. Voici quelques réflexes simples pour éviter les ennuis et savoir comment agir.

1. Bien configurer son téléphone

• Activez le verrouillage automatique + un code d’au moins 6 chiffres.

• Utilisez l’empreinte digitale si disponible.

• Ne stockez jamais vos mots de passe ou codes PIN dans des mémos ou applis peu sécurisées.

• Vérifiez les autorisations des applications et désactivez la géolocalisation quand elle n’est pas nécessaire.

• Sauvegardez vos données dans le cloud pour les récupérer en cas de perte/​vol.

2. L’IMEI : votre identifiant essentiel

L’IMEI est un numéro unique (15 chiffres) qui identifie votre smartphone.
On le trouve :

• dans les réglages (Informations / À propos),

• en tapant *#06#,

• sur la boîte d’origine.

Notez-le : votre opérateur en aura besoin pour bloquer l’appareil en cas de vol.

3. Se préparer au cas où

• Gardez l’IMEI et le numéro de votre carte SIM.

• Activez le cryptage des données.

• Configurez les options de localisation, effacement ou verrouillage à distance (Apple, Google, etc.).

• Si nécessaire, installez des applis fiables via le magasin officiel uniquement.

4. En cas de vol : réagissez vite

• Agissez dans les 24 h, avant que la batterie ne soit vide.

• Activez la localisation ou le verrouillage à distance.

• Ne poursuivez jamais l’éventuel voleur.

• Déposez plainte à la police (avec IMEI, SIM, localisation, etc.).

• Contactez votre opérateur pour bloquer la ligne et le téléphone.

• Si vous ne récupérez pas l’appareil, effacez vos données à distance et changez tous vos mots de passe.

5. Être indemnisé : que couvre l’assurance ?

Selon votre contrat, vous pouvez être remboursé :

• Certaines assurances auto omnium couvrent le vol si le téléphone a été dérobé dans la voiture.

• Certaines assurances interviennent aussi en cas de vol dans un autre immeuble ou avec violence.

• L’assurance familiale ne couvre généralement pas ce type de vol.

• L’indemnisation tient compte de l’âge et de la valeur dépréciée de l’appareil.

Sources :
Olivier BOGAERT
Commissaire de Police — Police Fédérale — DJSOC
Chroniqueur « Surfons tranquille » sur Classic 21
Sébastien Dormaels

Master en criminologie

© SecuNews